Un pacte pour des routes écologiques, numériques et citoyennes en 2030 Une vingtaine "d'acteurs des infrastructures de mobilité", parmi lesquels l'Assemblée des départements de France (ADF), viennent de signer un pacte d'engagement visant, à l'horizon 2030, à bâtir des infrastructures de transport "inscrites dans les transitions climatique et numérique et conçues et gérées en accordant une large place à l'écoute des citoyens". Une liste appelée à s’étoffer. Lien : https://www.banquedesterritoires.fr/un-pacte-pour-des-routes-ecologiques-numeriques-et-citoyennes-en-2030?pk_campaign=newsletter_quotidienne&pk_kwd=2021-02-01&pk_source=Actualit%C3%A9s_Localtis&pk_medium=newsletter_quotidienne Localtis, 1er février 2021, en ligne
Stationnement : d’autres regards (dossier) "Transports Urbains avait déjà consacré son numéro 134 au stationnement comme levier des politiques de mobilité et d’espaces publics. Ce numéro présentait les politiques de stationnement très cohérentes de Bâle et de Zurich et, sous plusieurs aspects, la relation entre ville et offre de stationnement. Ce nouveau numéro, largement dédié au stationnement, explore d’autres pistes et présente les résultats de quelques recherches étrangères, car la recherche universitaire française s’intéresse peu au stationnement et les politiques de stationnement, comme les études qui les inspirent, relèvent beaucoup de la gestion de l’offre publique plutôt que de politiques insérées dans des stratégies globales de mobilité." Transports urbains, n° 137, décembre 2020, p. 3 à 33
Se déplacer, décarboner, ralentir (dossier) "Rarement, les paradigmes de la mobilité auront été autant bouleversés. Non seulement du fait de la vague du Covid-19, mais également de l'obligation de décarbonation, qui affectera tout particulièrement le secteur des transports. Les questions soulevées dépassent le seul transport public. Elles mettent en jeu les modes de vie, l'organisation du travail autant que les modes de déplacement et plus encore les contraintes liées à l'espace : l'organisation urbaine elle-même, les conflits d'usage engendrés par le développement du vélo, l'offre de stationnement ou le renouvellement des pratiques mobilitaires dans les territoires peu denses. Elles interrogent aussi l'ancienne injonction de vitesse et le principe d'une "ville du quart d'heure" . Entre la nécessité, le besoin et le droit de bouger, et l'impératif de réduire les mobilités et de ralentir les rythmes urbains, le temps du compromis est peut-être venu, l'heure aussi de mettre en route et de réussir" Urbanisme, n°413, déc. 2020/jan./fév. 2021, p. 24 à 66
Vélo ou vélo-cargo. Le double visage de la cyclo-logistique Vélos-cargos d’un côté, simples vélos de l’autre. La distinction recoupe une profonde différence sociale : d’un côté des salariés d’entreprise ou co-entrepreneurs, de l’autre des auto-entrepreneurs précaires qui rusent souvent avec les règles pour s’en sortir. Les premiers sont encensés, les seconds décriés. Mais cela vaudrait la peine de se pencher sur le sort d’une activité aux nombreux livreurs et au métier risqué. Ville Rail et Transports, n°643, janvier 2021, p. 76 à 79
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